Telles sont les informations fournies par la délégation du Confédération espagnole des organisations professionnelles des îles Canaries. Le chômage aux îles Canaries, selon les données fournies par l'organisation des entreprises, est couvert par personnes ayant un faible niveau de qualification académique.
De ce fait, cette organisation d'hommes d'affaires a sommé les administrations publiques de investir dans des politiques actives de l'emploi parvenir à ce que les chômeurs, notamment de longue durée, se qualifier suffisamment être compétitif dans le monde du travail.
CEOE rapporte également que l'arrivée de la crise a tué les emplois les moins qualifiés celui des îles s'est toujours concentré sur le secteur de la construction, qui est celui qui a traditionnellement toujours absorbé de nombreux jeunes qui, face à la tentation de l'argent relativement facile ils se sont inscrits dans la construction et ont quitté leurs études formelles.
Avec les données disponibles de la CEOE, on constate également que le pourcentage de chômeurs ayant fait des études supérieures est resté stable tout au long de la crise et qu'il n'a pas augmenté de manière significative au cours des 3 années qu'il a duré.
Si le chômage est plus faible chez les diplômés universitaires, c'est en raison de leur qualification supérieure et la possibilité d'accéder, en cas de perte d'emploi, à un éventail d'emplois plus large que ceux qui peuvent accéder à la population peu instruite. Pour cette raison, le CEOE souligne la nécessité pour les Canaris de se former s'ils veulent sortir des listes de chômage.
source: Le jour | Photo: Intérêt partagé